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J'ai un peu décidé que je serai heureuse / Pascale Gruber
Titre : J'ai un peu décidé que je serai heureuse : survivre, revivre après un attentat et un traumatisme, ét avec l'aide des autres... Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2017 Collection : Liens Sociaux Importance : 1 vol. (26 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Langues : Français (fre) Sujets : attentat ; Traumatisme ; traumatisme psychique ; victime Résumé : source de l'éditeur :
"Ce jour-là, certains ont eu de la chance, ils ont pris le métro d'avant. Ou, ils cherchaient encore une place dans le parking de Zaventem... Ailleurs, à Paris, à Nice, à Berlin, à Londres ou à Madrid, d'autres hommes, d'autres femmes, comme à Bruxelles, ont été au mauvais endroit, au mauvais moment...
Il y a quelques décennies déjà, leur peuple a été victime d'un génocide. Ils sont Juifs, ils sont Tutsis. Bien sûr, leur histoire diffère fondamentalement de celle des victimes d'attentats. Mais, comme eux, ils ont dû rebâtir et leur chemin nous en apprend beaucoup. Certes, comme le rappelle le Dr Laurence Ayache, psychiatre au Service Social Juif, à Bruxelles, « les traumatismes dus à un génocide ou à un attentat sont spécifiques ou difficilement comparables. Pourtant, certains éléments communs peuvent contribuer à la reconstruction de ces personnes. »
Dans notre société, reconnaît-on les spécificités de ces vies « hors normes » ? Bardés de cicatrices, visibles ou non, les victimes et les proches des attentats de Bruxelles parlent d'une absence de soutien adéquat.
Publié en 2017, un an après les attentats de Bruxelles, la brochure « J'ai un peu décidé que je serai heureuse » évoque le parcours de combattants que mènent les victimes. Mais elle souligne, aussi, les réponses collectives ou individuelles qui pourraient les aider à se reconstruire."
Note de contenu : sommaire :
Le dernier métro. A Paris, à Bruxelles, ou ailleurs
Qui est concerné ? Toi, toi et toi. Mais pas toi
Tu me reconnais ?
Ce que dit la loi, rien que la loi
Hé ho, les autorités ! Y'a quelqu'un ?
Et ça continue, encore et encore
Les victimes se rebellent
Au tribunal du temps, de l'Histoire et de la culture...
On n'est pas tous égaux
Le poids des autres et celui des silences
Une victime moi ? Peut-être mais pas seulement...
Retour sur une société en état de choc
Attention : divisions en vue
L'échappée belle
C'est le premier pas qui compte...
Paroles de ceux qui viennent de loin..
Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20695 J'ai un peu décidé que je serai heureuse : survivre, revivre après un attentat et un traumatisme, ét avec l'aide des autres... [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2017 . - 1 vol. (26 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.. - (Liens Sociaux) .
Langues : Français (fre)
Sujets : attentat ; Traumatisme ; traumatisme psychique ; victime Résumé : source de l'éditeur :
"Ce jour-là, certains ont eu de la chance, ils ont pris le métro d'avant. Ou, ils cherchaient encore une place dans le parking de Zaventem... Ailleurs, à Paris, à Nice, à Berlin, à Londres ou à Madrid, d'autres hommes, d'autres femmes, comme à Bruxelles, ont été au mauvais endroit, au mauvais moment...
Il y a quelques décennies déjà, leur peuple a été victime d'un génocide. Ils sont Juifs, ils sont Tutsis. Bien sûr, leur histoire diffère fondamentalement de celle des victimes d'attentats. Mais, comme eux, ils ont dû rebâtir et leur chemin nous en apprend beaucoup. Certes, comme le rappelle le Dr Laurence Ayache, psychiatre au Service Social Juif, à Bruxelles, « les traumatismes dus à un génocide ou à un attentat sont spécifiques ou difficilement comparables. Pourtant, certains éléments communs peuvent contribuer à la reconstruction de ces personnes. »
Dans notre société, reconnaît-on les spécificités de ces vies « hors normes » ? Bardés de cicatrices, visibles ou non, les victimes et les proches des attentats de Bruxelles parlent d'une absence de soutien adéquat.
Publié en 2017, un an après les attentats de Bruxelles, la brochure « J'ai un peu décidé que je serai heureuse » évoque le parcours de combattants que mènent les victimes. Mais elle souligne, aussi, les réponses collectives ou individuelles qui pourraient les aider à se reconstruire."
Note de contenu : sommaire :
Le dernier métro. A Paris, à Bruxelles, ou ailleurs
Qui est concerné ? Toi, toi et toi. Mais pas toi
Tu me reconnais ?
Ce que dit la loi, rien que la loi
Hé ho, les autorités ! Y'a quelqu'un ?
Et ça continue, encore et encore
Les victimes se rebellent
Au tribunal du temps, de l'Histoire et de la culture...
On n'est pas tous égaux
Le poids des autres et celui des silences
Une victime moi ? Peut-être mais pas seulement...
Retour sur une société en état de choc
Attention : divisions en vue
L'échappée belle
C'est le premier pas qui compte...
Paroles de ceux qui viennent de loin..
Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20695 Exemplaires (2)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Psychologie (2) 165041 Brochure ESPACE 1 Disponible DOSSIER BE - Psychologie (2) 165235 Brochure ESPACE 1 Disponible Familles, je vous aime / Anoutcha Lualaba Lekede
Titre : Familles, je vous aime Type de document : texte imprimé Auteurs : Anoutcha Lualaba Lekede, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2019 Collection : Liens Sociaux Importance : 1 vol. (30 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Langues : Français (fre) Sujets : famille ; famille (forme) ; famille (rôle) Résumé : source de l'éditeur :
"Le modèle familial classique côtoie aujourd’hui une multitude de nouveaux modèles familiaux : les familles recomposées, monoparentales, adoptives, homosexuelles, etc.
La nouvelle brochure de Question Santé Familles, je vous aime interroge sur ce qui fait famille : celle qui est légitime aux yeux de la loi ? Celle qui est bâtie sur les liens du sang ? Celle qui vit sous un même toit ? Ou les liens que l’on se construit avec ceux qui partagent notre quotidien ?"Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21250 Familles, je vous aime [texte imprimé] / Anoutcha Lualaba Lekede, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2019 . - 1 vol. (30 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.. - (Liens Sociaux) .
Langues : Français (fre)
Sujets : famille ; famille (forme) ; famille (rôle) Résumé : source de l'éditeur :
"Le modèle familial classique côtoie aujourd’hui une multitude de nouveaux modèles familiaux : les familles recomposées, monoparentales, adoptives, homosexuelles, etc.
La nouvelle brochure de Question Santé Familles, je vous aime interroge sur ce qui fait famille : celle qui est légitime aux yeux de la loi ? Celle qui est bâtie sur les liens du sang ? Celle qui vit sous un même toit ? Ou les liens que l’on se construit avec ceux qui partagent notre quotidien ?"Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21250 Exemplaires (2)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Famille (5) 168050 Brochure ESPACE 1 Disponible DOSSIER BE - Famille (5) 168049 Brochure ESPACE 1 Disponible
Titre : Les grands-parents d'aujourd'hui, de nouveaux héros ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2020 Collection : Liens Sociaux Importance : 1 vol. (37 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 20 cm Langues : Français (fre) Sujets : grand-parent ; intergénérationnel Résumé : source de l'éditeur :
"L’équipe Education permanente de l’asbl Question Santé s’est tournée vers les nouveaux grands-parents pour écouter leurs histoires.
Aujourd’hui, 60% des plus de 50 ans auraient le statut de « grands-parents ». Les grands-parents d’aujourd’hui ne sont plus ceux d’hier et d’avant hier. Ils ont changé d’image, changé de rôle, changé de modèle, changé de position au sein de la société… Bien souvent lorsqu’ils accèdent à ce statut les grands-parents sont encore actifs, dynamiques, impliqués dans le monde du travail ou associatif. Aussi, ils ont encore souvent leurs propres parents. Ils vont donc devoir apprendre à jongler entre plusieurs générations qui, toutes, ont des demandes, des besoins ou des exigences à leur égard. Ils sont devenus ce qu’on nomme la « génération pivot » ou « génération sandwich ».
Dans ce contexte, la manière dont les grands-parents conçoivent et vivent leur nouveau rôle peut varier.
Il y a tout d'abord les grands-parents qui disent vouloir « aider leurs enfants » et occuper une place dans la vie de leurs petits-enfants. Le capital d’aide fourni par les grands-parents est considérable. En France, selon une étude de la DRESS, ils effectuent 16,9 millions d’heures de garde... par semaine ! Il faut dire que la « grand-parentalité est désormais présentée comme un projet à réussir. Une réalisation. ». Faudrait-il réussir sa grand-parentalité comme il nous est imparti de réussir nos vies privées et professionnelles ? Au fil des ans, le poids des responsabilités endossées ne pèse-t-il pas trop sur les épaules vieillissantes ?
Tous les grands-parents se retrouvent-ils dans les images, les normes, les carcans, les règles, les modèles, les préjugés qu’on leur colle à la peau ? Jacqueline a le courage de l’admettre : « Je n’ai pas beaucoup de patience pour m’occuper de ma petite-fille. Quand je la gardais, bébé, un jour par semaine, le temps me semblait parfois long. ». D’autres grands-parents confient leurs craintes de ne « pas être à la hauteur », par manque de temps, manque de moyens (financiers ou intellectuels) ou manque de compétences.
Il y a aussi ceux qui ont le statut de grands-parents mais pas le vécu. C’est le cas, par exemple, lorsqu’enfants et donc petits-enfants vivent loin (ou plus ou moins loin)... En matière d’éloignement, les grands-parents de 2020 ont été servis : tous disent avoir mal (ou très mal) vécu l’éloignement imposé par le coronavirus, avec son confinement et les mesures d’évitement social qui leur ont interdit de serrer leurs «petits bouts» dans les bras. Dalila le confirme : « Pendant le confinement, c’était grave : je ne les ai pas vus. Ils m’envoyaient des petits mots, des dessins, ils venaient me faire bonjour par la fenêtre. Mais c’était très très dur ». L’éloignement est parfois plus définitif encore. Dans des familles où parents et grands-parents se déchirent ou se disputent.
D’autres grands-parents entendent vivre libres, sans (trop de) contraintes familiales, sans laisser s’éteindre leurs rêves personnels avant qu’il ne soit trop tard, et bien sûr pas au profit d’une place royale de baby-sitter attitré. Est-il facile d’accepter, sans les juger, que ses propres parents aient (encore) une vie d’adulte en dehors de la famille ? Les grands-parents ont-ils droit à un épanouissement personnel au détriment de la sphère familiale ? Le rôle de soutien qu’on aimerait leur attribuer est-il « obligatoire » ? Peuvent-ils être présents « autrement » auprès de leurs petits-enfants ?
C’est au travers de très nombreux témoignages de grands-parents que la brochure d'éducation permanente « Les grands-parents d'aujourd'hui, de nouveaux héros ? » de Question Santé s’interroge. Qui sont les nouveaux grands-parents ? Que leur demande-t-on ? Quels sont leurs espoirs, leurs attentes, leurs tristesses ? Comment conçoivent-ils leur rôle ? La perspective de devenir grands-parents, n’est-ce toujours « que du bonheur » ? Qu’apportent les grands-parents à notre société et aux familles ?
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics."En ligne : https://questionsante.org/education-permanente/51-nos-outils/par-collection/lien [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21278 Les grands-parents d'aujourd'hui, de nouveaux héros ? [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2020 . - 1 vol. (37 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 20 cm. - (Liens Sociaux) .
Langues : Français (fre)
Sujets : grand-parent ; intergénérationnel Résumé : source de l'éditeur :
"L’équipe Education permanente de l’asbl Question Santé s’est tournée vers les nouveaux grands-parents pour écouter leurs histoires.
Aujourd’hui, 60% des plus de 50 ans auraient le statut de « grands-parents ». Les grands-parents d’aujourd’hui ne sont plus ceux d’hier et d’avant hier. Ils ont changé d’image, changé de rôle, changé de modèle, changé de position au sein de la société… Bien souvent lorsqu’ils accèdent à ce statut les grands-parents sont encore actifs, dynamiques, impliqués dans le monde du travail ou associatif. Aussi, ils ont encore souvent leurs propres parents. Ils vont donc devoir apprendre à jongler entre plusieurs générations qui, toutes, ont des demandes, des besoins ou des exigences à leur égard. Ils sont devenus ce qu’on nomme la « génération pivot » ou « génération sandwich ».
Dans ce contexte, la manière dont les grands-parents conçoivent et vivent leur nouveau rôle peut varier.
Il y a tout d'abord les grands-parents qui disent vouloir « aider leurs enfants » et occuper une place dans la vie de leurs petits-enfants. Le capital d’aide fourni par les grands-parents est considérable. En France, selon une étude de la DRESS, ils effectuent 16,9 millions d’heures de garde... par semaine ! Il faut dire que la « grand-parentalité est désormais présentée comme un projet à réussir. Une réalisation. ». Faudrait-il réussir sa grand-parentalité comme il nous est imparti de réussir nos vies privées et professionnelles ? Au fil des ans, le poids des responsabilités endossées ne pèse-t-il pas trop sur les épaules vieillissantes ?
Tous les grands-parents se retrouvent-ils dans les images, les normes, les carcans, les règles, les modèles, les préjugés qu’on leur colle à la peau ? Jacqueline a le courage de l’admettre : « Je n’ai pas beaucoup de patience pour m’occuper de ma petite-fille. Quand je la gardais, bébé, un jour par semaine, le temps me semblait parfois long. ». D’autres grands-parents confient leurs craintes de ne « pas être à la hauteur », par manque de temps, manque de moyens (financiers ou intellectuels) ou manque de compétences.
Il y a aussi ceux qui ont le statut de grands-parents mais pas le vécu. C’est le cas, par exemple, lorsqu’enfants et donc petits-enfants vivent loin (ou plus ou moins loin)... En matière d’éloignement, les grands-parents de 2020 ont été servis : tous disent avoir mal (ou très mal) vécu l’éloignement imposé par le coronavirus, avec son confinement et les mesures d’évitement social qui leur ont interdit de serrer leurs «petits bouts» dans les bras. Dalila le confirme : « Pendant le confinement, c’était grave : je ne les ai pas vus. Ils m’envoyaient des petits mots, des dessins, ils venaient me faire bonjour par la fenêtre. Mais c’était très très dur ». L’éloignement est parfois plus définitif encore. Dans des familles où parents et grands-parents se déchirent ou se disputent.
D’autres grands-parents entendent vivre libres, sans (trop de) contraintes familiales, sans laisser s’éteindre leurs rêves personnels avant qu’il ne soit trop tard, et bien sûr pas au profit d’une place royale de baby-sitter attitré. Est-il facile d’accepter, sans les juger, que ses propres parents aient (encore) une vie d’adulte en dehors de la famille ? Les grands-parents ont-ils droit à un épanouissement personnel au détriment de la sphère familiale ? Le rôle de soutien qu’on aimerait leur attribuer est-il « obligatoire » ? Peuvent-ils être présents « autrement » auprès de leurs petits-enfants ?
C’est au travers de très nombreux témoignages de grands-parents que la brochure d'éducation permanente « Les grands-parents d'aujourd'hui, de nouveaux héros ? » de Question Santé s’interroge. Qui sont les nouveaux grands-parents ? Que leur demande-t-on ? Quels sont leurs espoirs, leurs attentes, leurs tristesses ? Comment conçoivent-ils leur rôle ? La perspective de devenir grands-parents, n’est-ce toujours « que du bonheur » ? Qu’apportent les grands-parents à notre société et aux familles ?
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics."En ligne : https://questionsante.org/education-permanente/51-nos-outils/par-collection/lien [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21278 Exemplaires (1)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Famille (5) 168442 Brochure ESPACE 1 Disponible
Titre : Handicap et fratries : "les enfants de l'ombre" entrent dans la lumière Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale Gruber, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2018 Collection : Liens Sociaux Importance : 1 vol. (26 p.) Présentation : ill. en coul, couv. ill. en coul. Langues : Français (fre) Sujets : fratrie ; handicap ; intégration de l'enfant handicapé ; parent d'enfant handicapé Index. décimale : 2802 Enfants et adolescents handicapés Résumé : source de l'éditeur :
"D’apparence, ce sont des enfants « comme les autres ». Pourtant, ils évoluent dans une famille qui compte un ou plusieurs enfants handicapés. Les questionnements et les doutes des enfants grandissant dans ce type de fratrie sont rarement exprimés ou entendus. Pourtant, ceux-ci sont contraints de se construire avec un certain nombre de questionnements et de sentiments spécifiques : colère, jalousie, tristesse, peur, honte, culpabilité, abandon…
La brochure Handicap et fratries – Les « enfants de l’ombre » entrent dans la lumière donne la parole à ces frères et sœurs ordinaires qui vivent dans des familles « extra »-ordinaires.
Solidaires, tolérantes et empathiques, ces fratries voient, aiment et respectent au-delà des différences. Leurs témoignages nous offrent un autre regard sur le handicap ainsi qu’une réelle leçon de vie sur notre société et sur la place que chacun y occupe. Ces paroles permettent de mieux comprendre le handicap. Elles sont une inspiration pour nous mener vers une société plus inclusive."Note de contenu : sommaire :
Des familles (presque) comme les autres…
Des silences pour camarades de route
Lorsque l’enfant paraît…
« Je suis où, moi ? »
Ici, on se déchire…
Une ascension maison
Avec ceux-là, pas de vague, pas de souci !
Ici, pas d’œillères
Inconnu (ou presque) à l’adresse indiquée
Pour les fratries de demain
Un avenir presque comme les autres
En ligne : https://questionsante.org/assets/files/EP/Handicap_fratrie.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20409 Handicap et fratries : "les enfants de l'ombre" entrent dans la lumière [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2018 . - 1 vol. (26 p.) : ill. en coul, couv. ill. en coul.. - (Liens Sociaux) .
Langues : Français (fre)
Sujets : fratrie ; handicap ; intégration de l'enfant handicapé ; parent d'enfant handicapé Index. décimale : 2802 Enfants et adolescents handicapés Résumé : source de l'éditeur :
"D’apparence, ce sont des enfants « comme les autres ». Pourtant, ils évoluent dans une famille qui compte un ou plusieurs enfants handicapés. Les questionnements et les doutes des enfants grandissant dans ce type de fratrie sont rarement exprimés ou entendus. Pourtant, ceux-ci sont contraints de se construire avec un certain nombre de questionnements et de sentiments spécifiques : colère, jalousie, tristesse, peur, honte, culpabilité, abandon…
La brochure Handicap et fratries – Les « enfants de l’ombre » entrent dans la lumière donne la parole à ces frères et sœurs ordinaires qui vivent dans des familles « extra »-ordinaires.
Solidaires, tolérantes et empathiques, ces fratries voient, aiment et respectent au-delà des différences. Leurs témoignages nous offrent un autre regard sur le handicap ainsi qu’une réelle leçon de vie sur notre société et sur la place que chacun y occupe. Ces paroles permettent de mieux comprendre le handicap. Elles sont une inspiration pour nous mener vers une société plus inclusive."Note de contenu : sommaire :
Des familles (presque) comme les autres…
Des silences pour camarades de route
Lorsque l’enfant paraît…
« Je suis où, moi ? »
Ici, on se déchire…
Une ascension maison
Avec ceux-là, pas de vague, pas de souci !
Ici, pas d’œillères
Inconnu (ou presque) à l’adresse indiquée
Pour les fratries de demain
Un avenir presque comme les autres
En ligne : https://questionsante.org/assets/files/EP/Handicap_fratrie.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20409 Exemplaires (2)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Handicap (5) 161463 Brochure ESPACE 1 Disponible DOSSIER BE - Handicap (5) 161462 Brochure ESPACE 1 Disponible
Titre : Internet, mes amies, mes relations, et moi... Type de document : texte imprimé Auteurs : Anoutcha Lualaba Lekede, Auteur Editeur : Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente Année de publication : DL 2020 Collection : Liens Sociaux Importance : 1 vol. (22 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Langues : Français (fre) Sujets : Communauté Virtuelle ; Internet ; Internet et les Jeunes ; N.T.I.C. (Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication) Résumé : source de l'éditeur :
"Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) ont changé nos relations et nos manières d’être en lien.
Merci Internet ! Grâce à la Toile, on peut retrouver, avoir, se faire (et garder) des amis à Cuba, à Panama ou à Palavas, jouer au scrabble avec un adversaire vivant à Canberra, dégoter un nouvel amour à Manama, monter un réseau solidaire où que l’on soit...
Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) ont changé nos relations et nos manières d’être en lien. Ce phénomène est loin d’être anodin : tout le monde ou presque (et malheur à ceux qui ne suivent pas le rythme ?) envoie des e-mails, utilise des messageries instantanées, communique via les réseaux sociaux...
Faut-il se méfier ou se réjouir du développement de ces relations, ces amours, ces amitiés, ces liens virtuels ? Risquent-ils de supplanter nos manières d’être avec les autres et de partager avec eux ? Offrent-ils, au contraire, de magnifiques opportunités de développer des actions collectives ?
En leur temps, le téléphone, puis, la radio et la télé avaient été accusés de nuire à nos liens sociaux. Avec les NTIC, qui s’immiscent partout dans nos vies et dont nous dépendons tant, l’accusation serait-elle fondée ? La parole est aux accusateurs, aux défenseurs... et à tous ceux qui hésitent ou qui s’interrogent.
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics."En ligne : https://questionsante.org/education-permanente/51-nos-outils/par-collection/lien [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21303 Internet, mes amies, mes relations, et moi... [texte imprimé] / Anoutcha Lualaba Lekede, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2020 . - 1 vol. (22 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.. - (Liens Sociaux) .
Langues : Français (fre)
Sujets : Communauté Virtuelle ; Internet ; Internet et les Jeunes ; N.T.I.C. (Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication) Résumé : source de l'éditeur :
"Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) ont changé nos relations et nos manières d’être en lien.
Merci Internet ! Grâce à la Toile, on peut retrouver, avoir, se faire (et garder) des amis à Cuba, à Panama ou à Palavas, jouer au scrabble avec un adversaire vivant à Canberra, dégoter un nouvel amour à Manama, monter un réseau solidaire où que l’on soit...
Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) ont changé nos relations et nos manières d’être en lien. Ce phénomène est loin d’être anodin : tout le monde ou presque (et malheur à ceux qui ne suivent pas le rythme ?) envoie des e-mails, utilise des messageries instantanées, communique via les réseaux sociaux...
Faut-il se méfier ou se réjouir du développement de ces relations, ces amours, ces amitiés, ces liens virtuels ? Risquent-ils de supplanter nos manières d’être avec les autres et de partager avec eux ? Offrent-ils, au contraire, de magnifiques opportunités de développer des actions collectives ?
En leur temps, le téléphone, puis, la radio et la télé avaient été accusés de nuire à nos liens sociaux. Avec les NTIC, qui s’immiscent partout dans nos vies et dont nous dépendons tant, l’accusation serait-elle fondée ? La parole est aux accusateurs, aux défenseurs... et à tous ceux qui hésitent ou qui s’interrogent.
La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics."En ligne : https://questionsante.org/education-permanente/51-nos-outils/par-collection/lien [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21303 Exemplaires (1)
Cote Code-barres Support Section Disponibilité DOSSIER BE - Internet (4) 168541 Brochure ESPACE 1 Disponible Les réseaux d'échanges de savoirs loupiotes d'espoir ? / Isabelle Dossogne
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