Titre : |
Cyber harcèlement : petits meurtres entre "amis" |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pascale Gruber, Auteur |
Editeur : |
Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente |
Année de publication : |
DL 2016 |
Collection : |
Exclusion, Inclusion |
Importance : |
1 vol. (25 p.) |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Langues : |
Français (fre) |
Sujets : |
cyberharcèlement ; harcèlement scolaire ; Internet (risques) ; Internet et les Jeunes ; liberté d'expression
|
Résumé : |
extrait du site de l'éditeur :
"Le cyberharcèlement a le vent en poupe, si bien qu’aujourd’hui tout le monde en a au moins entendu parler.
Selon certaines enquêtes, entre 12 et 18 ans, 1 jeune sur 3 prétendait avoir été sa victime une fois dans sa vie, et 1 sur 5 avouait avoir été un harceleur. Ils étaient entourés par 76% de témoins non impliqués et/ou non réactifs.
Le cyberharcèlement surfe sur la vague des technologies de la communication et de l’information. Parent proche du harcèlement, il va pourtant bien plus loin, se jouant de l’espace et du temps. Ainsi, il permet au harceleur de rester anonyme et de mettre une apparente distance entre lui et sa victime, dont il ne voit pas directement la souffrance. Quant au temps, il ajoute à sa cruauté : souvent, les méfaits du cyberharcèlement gardent indéfiniment une trace sur la toile.
On trouve le cyberharcèlement à tous les coins des réseaux sociaux, à la faveur des sms et autres tweets, par lesquels se répandent les messages humiliants, menaces, insultes, diffusions de rumeurs, d’images intimes, campagnes de dénigrement, etc. Déterminé à frapper au coeur, par idée de vengeance ou parfois, simplement, pour s’amuser, le harceleur se sert aussi de photos ou messages personnels mis en ligne par la victime elle-même, qui parlera alors de viol de sa vie privée. Il ajoute à sa perversité une séduction fanfaronne, du genre : «c’est pour rire», qui a souvent contribué à la banalisation du phénomène. Pourtant, les atteintes du cyberharcèlement impactent tous les aspects de la vie de la victime : santé physique et psychologique, vie sociale, réputation. Souvent, le sentiment d’insécurité, l’anxiété, la honte, l’isolement finissent par faire mouche et par laminer la victime. Dans certains cas, celle-ci ira jusqu’au suicide...
Voici une brochure qui analyse le cyberhacèlement sous tous ses angles. Elle invite au débat avec, entre autres, ces questions : Comment l’aborder, en parler ? Comment le repérer, éviter sa banalisation ? Qu’est-ce qui a permis son expansion dans nos sociétés ? Qui sont les harceleurs ? Les victimes ? Sommes-nous assez informés, vigilants ? Comment faire face, dénoncer, se protéger ? Etc.
Si vous le croisez, ne pas tombez pas dans ses filets – c’est un enjeu sérieux de société !" |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19430 |
Cyber harcèlement : petits meurtres entre "amis" [texte imprimé] / Pascale Gruber, Auteur . - Bruxelles : Question Santé. Service d'Education Permanente, DL 2016 . - 1 vol. (25 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.. - ( Exclusion, Inclusion) . Langues : Français ( fre)
Sujets : |
cyberharcèlement ; harcèlement scolaire ; Internet (risques) ; Internet et les Jeunes ; liberté d'expression
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Résumé : |
extrait du site de l'éditeur :
"Le cyberharcèlement a le vent en poupe, si bien qu’aujourd’hui tout le monde en a au moins entendu parler.
Selon certaines enquêtes, entre 12 et 18 ans, 1 jeune sur 3 prétendait avoir été sa victime une fois dans sa vie, et 1 sur 5 avouait avoir été un harceleur. Ils étaient entourés par 76% de témoins non impliqués et/ou non réactifs.
Le cyberharcèlement surfe sur la vague des technologies de la communication et de l’information. Parent proche du harcèlement, il va pourtant bien plus loin, se jouant de l’espace et du temps. Ainsi, il permet au harceleur de rester anonyme et de mettre une apparente distance entre lui et sa victime, dont il ne voit pas directement la souffrance. Quant au temps, il ajoute à sa cruauté : souvent, les méfaits du cyberharcèlement gardent indéfiniment une trace sur la toile.
On trouve le cyberharcèlement à tous les coins des réseaux sociaux, à la faveur des sms et autres tweets, par lesquels se répandent les messages humiliants, menaces, insultes, diffusions de rumeurs, d’images intimes, campagnes de dénigrement, etc. Déterminé à frapper au coeur, par idée de vengeance ou parfois, simplement, pour s’amuser, le harceleur se sert aussi de photos ou messages personnels mis en ligne par la victime elle-même, qui parlera alors de viol de sa vie privée. Il ajoute à sa perversité une séduction fanfaronne, du genre : «c’est pour rire», qui a souvent contribué à la banalisation du phénomène. Pourtant, les atteintes du cyberharcèlement impactent tous les aspects de la vie de la victime : santé physique et psychologique, vie sociale, réputation. Souvent, le sentiment d’insécurité, l’anxiété, la honte, l’isolement finissent par faire mouche et par laminer la victime. Dans certains cas, celle-ci ira jusqu’au suicide...
Voici une brochure qui analyse le cyberhacèlement sous tous ses angles. Elle invite au débat avec, entre autres, ces questions : Comment l’aborder, en parler ? Comment le repérer, éviter sa banalisation ? Qu’est-ce qui a permis son expansion dans nos sociétés ? Qui sont les harceleurs ? Les victimes ? Sommes-nous assez informés, vigilants ? Comment faire face, dénoncer, se protéger ? Etc.
Si vous le croisez, ne pas tombez pas dans ses filets – c’est un enjeu sérieux de société !" |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19430 |
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