Titre : |
Merci la dyscalculie : voici quelques aménagements légitimes offerts à tous les élèves |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ludivine Halloy, Auteur ; Anne-Catherine Jamart, Auteur |
Editeur : |
Sambreville : Éditions Atzéo |
Année de publication : |
DL 2020 |
Collection : |
Gestion de Classe Efficace |
Importance : |
1 vol. (76 p.) |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
ISBN/ISSN/EAN : |
9782930794252 |
Langues : |
Français (fre) |
Sujets : |
accommodement raisonnable ; climat de la classe ; difficulté d'apprentissage ; dyscalculie ; gestion de classe ; trouble de l'apprentissage ; trouble du calcul
|
Index. décimale : |
2835 Dyscalculie, troubles du calcul |
Résumé : |
Extrait du site de l'éditeur :
"Ludivine HALLOY et Anne-Catherine JAMART mettent leur expérience pratique ET théorique au service de l’ensemble de la classe. Plutôt que d’insister sur des traitements particuliers pour des élèves porteurs d’un trouble de la dysPRAXIE, l’enseignant offre ainsi un environnement pédagogique de qualité, des aménagements légitimes pour quelques-uns au bénéfice de TOUS ! Cela permet d’affirmer : « MERCI les DYS ».
Voici un extrait de leur introduction :
Kosc définissait déjà la dyscalculie en 1974 comme la difficulté au niveau des performances en mathématiques résultant d’un déficit situé dans les parties du cerveau qui sont impliquées dans le traitement du calcul; cette difficulté se manifesterait en l’absence d’une atteinte concomitante des fonctions mentales générales. Cependant, c’est un trouble pour lequel la recherche s’est développée très tard. Il en va de même pour la didactique des nombres par rapport aux didactiques en linguistique.
La dyscalculie est beaucoup moins étudiée que la dyslexie car il existe un genre de « fatalisme » lié aux mathématiques. Contrairement aux difficultés en lecture, on dira plus facilement : « Il n’a pas la bosse des maths, il est nul en calcul mental, … ». Cette affirmation est aujourd’hui totalement remise en cause par des neuroscientifiques reconnus : Stanislas Dehaene et Marie Almaric ont mis en évidence que la «zone des maths» serait présente chez tous les individus, dès la naissance, et se développerait à force de pratique et d’entraînement. Autre découverte d’importance : aucune recherche n’a pointé la moindre disparité entre les filles et les garçons. En la matière, la seule différence résiderait dans le poids de l’éducation et des stéréotypes qu’elle véhicule." |
Public cible : |
Primaire |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21404 |
Merci la dyscalculie : voici quelques aménagements légitimes offerts à tous les élèves [texte imprimé] / Ludivine Halloy, Auteur ; Anne-Catherine Jamart, Auteur . - Sambreville : Éditions Atzéo, DL 2020 . - 1 vol. (76 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul.. - ( Gestion de Classe Efficace) . ISSN : 9782930794252 Langues : Français ( fre)
Sujets : |
accommodement raisonnable ; climat de la classe ; difficulté d'apprentissage ; dyscalculie ; gestion de classe ; trouble de l'apprentissage ; trouble du calcul
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Index. décimale : |
2835 Dyscalculie, troubles du calcul |
Résumé : |
Extrait du site de l'éditeur :
"Ludivine HALLOY et Anne-Catherine JAMART mettent leur expérience pratique ET théorique au service de l’ensemble de la classe. Plutôt que d’insister sur des traitements particuliers pour des élèves porteurs d’un trouble de la dysPRAXIE, l’enseignant offre ainsi un environnement pédagogique de qualité, des aménagements légitimes pour quelques-uns au bénéfice de TOUS ! Cela permet d’affirmer : « MERCI les DYS ».
Voici un extrait de leur introduction :
Kosc définissait déjà la dyscalculie en 1974 comme la difficulté au niveau des performances en mathématiques résultant d’un déficit situé dans les parties du cerveau qui sont impliquées dans le traitement du calcul; cette difficulté se manifesterait en l’absence d’une atteinte concomitante des fonctions mentales générales. Cependant, c’est un trouble pour lequel la recherche s’est développée très tard. Il en va de même pour la didactique des nombres par rapport aux didactiques en linguistique.
La dyscalculie est beaucoup moins étudiée que la dyslexie car il existe un genre de « fatalisme » lié aux mathématiques. Contrairement aux difficultés en lecture, on dira plus facilement : « Il n’a pas la bosse des maths, il est nul en calcul mental, … ». Cette affirmation est aujourd’hui totalement remise en cause par des neuroscientifiques reconnus : Stanislas Dehaene et Marie Almaric ont mis en évidence que la «zone des maths» serait présente chez tous les individus, dès la naissance, et se développerait à force de pratique et d’entraînement. Autre découverte d’importance : aucune recherche n’a pointé la moindre disparité entre les filles et les garçons. En la matière, la seule différence résiderait dans le poids de l’éducation et des stéréotypes qu’elle véhicule." |
Public cible : |
Primaire |
Permalink : |
https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21404 |
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