Centre
Bruxellois de
Documentation
Pédagogique
Penser l'Education . n°50Mention de date : janvier 2022 Paru le : 01/01/2022 |
Exemplaires (1)
Cote | Code-barres | Support | Section | Disponibilité | |
---|---|---|---|---|---|
P | 173372 | Revue | ESPACE 1 | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierL'émancipation comme finalité pédagogique en contexte scolaire / Guillaume Caron in Penser l'Education, n°50 (janvier 2022)
[article]
Titre : L'émancipation comme finalité pédagogique en contexte scolaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Caron, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 9/34 Langues : Français (fre) Sujets : construction de soi ; émancipation ; Empowerment ; individualisation ; Liberté ; maîtrise de soi ; Pédagogie Constructiviste ; Pédagogie Emancipatrice ; pédagogie libertaire ; pédagogie rationnaliste ; postmodernité ; puissance ; questionnement ; rationalité ; réalisation de Soi ; Responsabilité Résumé : source de l'éditeur :
"Dans cet article, nous étayons une caractérisation de la notion d’émancipation en éducation pour la questionner comme finalité pédagogique en milieu scolaire. Nous nous appuyons pour cela sur l’idée que l’émancipation est le processus de construction d’un sujet libéré des déterminismes, des tutelles, des emprises et des préjugés sur soi et son environnement. Sur le plan pédagogique, cela suppose la mise en œuvre de dispositifs permettant de prendre conscience de soi, de sa subjectivité et de sa capacité à être auteur, en lien avec les autres, de sa propre transformation et de celle du monde qui nous entoure. La répétition de ces expériences ainsi vécues serait susceptible de générer des capacités et des schèmes transférables à l’âge adulte. Une relecture de l’histoire de la notion d’émancipation et sa réinterrogation dans un contexte postmoderne nous permet de caractériser ce que pourraient être de telles expériences selon quatre dimensions qui s’imbriquent entre elles : intellectuelle, sociale, politique et existentielle. Elles s’inscrivent dans une articulation entre l’individuel, via l’idée de liberté, et le collectif, par la prise de conscience de l’égalité."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22191
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 9/34[article] L'émancipation comme finalité pédagogique en contexte scolaire [texte imprimé] / Guillaume Caron, Auteur . - 2022 . - p. 9/34.
Langues : Français (fre)
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 9/34
Sujets : construction de soi ; émancipation ; Empowerment ; individualisation ; Liberté ; maîtrise de soi ; Pédagogie Constructiviste ; Pédagogie Emancipatrice ; pédagogie libertaire ; pédagogie rationnaliste ; postmodernité ; puissance ; questionnement ; rationalité ; réalisation de Soi ; Responsabilité Résumé : source de l'éditeur :
"Dans cet article, nous étayons une caractérisation de la notion d’émancipation en éducation pour la questionner comme finalité pédagogique en milieu scolaire. Nous nous appuyons pour cela sur l’idée que l’émancipation est le processus de construction d’un sujet libéré des déterminismes, des tutelles, des emprises et des préjugés sur soi et son environnement. Sur le plan pédagogique, cela suppose la mise en œuvre de dispositifs permettant de prendre conscience de soi, de sa subjectivité et de sa capacité à être auteur, en lien avec les autres, de sa propre transformation et de celle du monde qui nous entoure. La répétition de ces expériences ainsi vécues serait susceptible de générer des capacités et des schèmes transférables à l’âge adulte. Une relecture de l’histoire de la notion d’émancipation et sa réinterrogation dans un contexte postmoderne nous permet de caractériser ce que pourraient être de telles expériences selon quatre dimensions qui s’imbriquent entre elles : intellectuelle, sociale, politique et existentielle. Elles s’inscrivent dans une articulation entre l’individuel, via l’idée de liberté, et le collectif, par la prise de conscience de l’égalité."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22191 L'évolution de la question éducative chez Fichte / Nicolas Cuneen in Penser l'Education, n°50 (janvier 2022)
[article]
Titre : L'évolution de la question éducative chez Fichte : de la posture pédagogique à la gouvernance scolaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Cuneen, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 35/46 Langues : Français (fre) Sujets : éducation ; Fichte (Johann Gottlieb) ; Gouvernance Mots-clés : posture pédagogique développement sociétal Résumé : source de l'éditeur :
"Ce texte explore l’évolution de la manière dont la question éducative a été abordée par le philosophe idéaliste J.-G. Fichte sur les 20 ans de sa production philosophique. En effet, l’éducation est au cœur de ses réflexions dès ses premiers cours publics en 1794, et le sujet continue à animer son travail jusqu’à ses derniers écrits, publiés en 1813. Cette continuité thématique risque pourtant de cacher un déplacement radical dans l’approche que propose Fichte, un déplacement aussi précoce que son intérêt pour l’apprentissage dit « actif ». Au fil des années, l’auteur allemand accorde son attention moins à la question pédagogique et plus à celle de la gouvernance : la gouvernance de l’école elle-même, ainsi que le rapport entre l’éducation et la gouvernance étatique. Après avoir parcouru ce cheminement philosophique, nous tenterons d’en tirer quelques leçons pour penser l’éducation aujourd’hui."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22191
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 35/46[article] L'évolution de la question éducative chez Fichte : de la posture pédagogique à la gouvernance scolaire [texte imprimé] / Nicolas Cuneen, Auteur . - 2022 . - p. 35/46.
Langues : Français (fre)
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 35/46
Sujets : éducation ; Fichte (Johann Gottlieb) ; Gouvernance Mots-clés : posture pédagogique développement sociétal Résumé : source de l'éditeur :
"Ce texte explore l’évolution de la manière dont la question éducative a été abordée par le philosophe idéaliste J.-G. Fichte sur les 20 ans de sa production philosophique. En effet, l’éducation est au cœur de ses réflexions dès ses premiers cours publics en 1794, et le sujet continue à animer son travail jusqu’à ses derniers écrits, publiés en 1813. Cette continuité thématique risque pourtant de cacher un déplacement radical dans l’approche que propose Fichte, un déplacement aussi précoce que son intérêt pour l’apprentissage dit « actif ». Au fil des années, l’auteur allemand accorde son attention moins à la question pédagogique et plus à celle de la gouvernance : la gouvernance de l’école elle-même, ainsi que le rapport entre l’éducation et la gouvernance étatique. Après avoir parcouru ce cheminement philosophique, nous tenterons d’en tirer quelques leçons pour penser l’éducation aujourd’hui."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22191 Approcher, évaluer et développer un dispositif de formation / Gilles Leclercq in Penser l'Education, n°50 (janvier 2022)
[article]
Titre : Approcher, évaluer et développer un dispositif de formation : contribution à une démarche dispositive Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Leclercq, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 47/77 Langues : Français (fre) Sujets : Compétence ; évaluation Mots-clés : démarche dispositive Dispositif de formation Marco,Meso,Micro (MMM) Subdestinataire, Destinataire et Surdestinataire (SDS) Skill Pass Résumé : source de l'éditeur :
"Cet article a l’ambition de répondre à une question : comment et pourquoi évaluer un dispositif de formation ? Dans cette perspective, nous allons mobiliser une certaine manière de faire de la philosophie et asseoir une conception de la scientificité qui permettra d’étayer une démarche dite dispositive. Deux étapes successives nous apporteront une solution : il convient d’approcher le dispositif dans la perspective de l’évaluer puis de l’évaluer dans la perspective de le développer. Pour mettre en œuvre la première étape, deux outils seront proposés. Le premier permet à l’évaluateur de se construire un point de vue sur une diversité de points de vue significatifs, le deuxième de comprendre comment s’établit et s’articule l’interaction entre destinateurs et destinataires. Cette première étape conduit à identifier des présupposés qui demandent à être vérifiés dans la deuxième étape. Deux autres outils seront alors proposés. Le premier permet à l’évaluateur d’apprécier l’écart entre le dispositif souhaité et le dispositif activé et d’envisager un dispositif souhaitable. La proposition de développement dépend toutefois de la zone de développement proximale dans laquelle se trouve le dispositif. Dans la situation étudiée, il convient de prendre en considération ce qui fonde épistémologiquement et idéologiquement les présupposés des destinateurs premiers et de s’en tenir d’abord à un développement qui ne fait pas sortir le dispositif de ses gonds. Cela n’empêchera pas d’envisager l’existence d’un deuxième outil qui invitera à imaginer un développement plus incisif."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22192
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 47/77[article] Approcher, évaluer et développer un dispositif de formation : contribution à une démarche dispositive [texte imprimé] / Gilles Leclercq, Auteur . - 2022 . - p. 47/77.
Langues : Français (fre)
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 47/77
Sujets : Compétence ; évaluation Mots-clés : démarche dispositive Dispositif de formation Marco,Meso,Micro (MMM) Subdestinataire, Destinataire et Surdestinataire (SDS) Skill Pass Résumé : source de l'éditeur :
"Cet article a l’ambition de répondre à une question : comment et pourquoi évaluer un dispositif de formation ? Dans cette perspective, nous allons mobiliser une certaine manière de faire de la philosophie et asseoir une conception de la scientificité qui permettra d’étayer une démarche dite dispositive. Deux étapes successives nous apporteront une solution : il convient d’approcher le dispositif dans la perspective de l’évaluer puis de l’évaluer dans la perspective de le développer. Pour mettre en œuvre la première étape, deux outils seront proposés. Le premier permet à l’évaluateur de se construire un point de vue sur une diversité de points de vue significatifs, le deuxième de comprendre comment s’établit et s’articule l’interaction entre destinateurs et destinataires. Cette première étape conduit à identifier des présupposés qui demandent à être vérifiés dans la deuxième étape. Deux autres outils seront alors proposés. Le premier permet à l’évaluateur d’apprécier l’écart entre le dispositif souhaité et le dispositif activé et d’envisager un dispositif souhaitable. La proposition de développement dépend toutefois de la zone de développement proximale dans laquelle se trouve le dispositif. Dans la situation étudiée, il convient de prendre en considération ce qui fonde épistémologiquement et idéologiquement les présupposés des destinateurs premiers et de s’en tenir d’abord à un développement qui ne fait pas sortir le dispositif de ses gonds. Cela n’empêchera pas d’envisager l’existence d’un deuxième outil qui invitera à imaginer un développement plus incisif."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22192 Les forces de la reconnaissance / Sophie Schmitt-Richard in Penser l'Education, n°50 (janvier 2022)
[article]
Titre : Les forces de la reconnaissance : reconnaître les professeurs débutants pour les accompagner Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Schmitt-Richard, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 79/104 Langues : Français (fre) Sujets : accompagnement pédagogique ; développement professionnel ; enseignant ; Enseignant Débutant ; Formation Continue des Enseignants ; Formation Initiale ; reconnaissance Mots-clés : reconnaissance professionnelle Résumé : source de l'éditeur :
"Ce texte s’intéresse aux forces de la reconnaissance comme moment inaugural de l’accompagnement des jeunes professeurs des écoles : la reconnaissance, en effet, recèle un double intérêt. Elle assure le formé du chemin parcouru, conforte son sentiment de compétence, autant qu’elle donne à voir et à penser le développement professionnel (lorsque je reconnais chez le débutant sa capacité à penser, construire, problématiser son action) mais elle constitue aussi un facteur de développement (lorsque ce sont les points de questionnements du débutant qui déterminent en partie le travail commun à venir). Reconnaître l’autre apparaît être un moment-clef à plus d’un titre. Qu’il s’agisse de la mise en relation entre le formateur et le formé, de la qualification de celui qui apprend son métier comme acteur capable, du respect porté à son expertise professionnelle ou de l’investissement du débutant malgré les difficultés et les échecs fréquents en début de carrière, la reconnaissance semble pouvoir asseoir, conforter et tout simplement permettre un espace de travail valorisant et sécurisant pour celui qui s’essaie à l’enseignement et qui souhaite pouvoir devenir, progressivement, un professionnel qui maîtrise ses gestes et affine continuellement son art."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22192
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 79/104[article] Les forces de la reconnaissance : reconnaître les professeurs débutants pour les accompagner [texte imprimé] / Sophie Schmitt-Richard, Auteur . - 2022 . - p. 79/104.
Langues : Français (fre)
in Penser l'Education > n°50 (janvier 2022) . - p. 79/104
Sujets : accompagnement pédagogique ; développement professionnel ; enseignant ; Enseignant Débutant ; Formation Continue des Enseignants ; Formation Initiale ; reconnaissance Mots-clés : reconnaissance professionnelle Résumé : source de l'éditeur :
"Ce texte s’intéresse aux forces de la reconnaissance comme moment inaugural de l’accompagnement des jeunes professeurs des écoles : la reconnaissance, en effet, recèle un double intérêt. Elle assure le formé du chemin parcouru, conforte son sentiment de compétence, autant qu’elle donne à voir et à penser le développement professionnel (lorsque je reconnais chez le débutant sa capacité à penser, construire, problématiser son action) mais elle constitue aussi un facteur de développement (lorsque ce sont les points de questionnements du débutant qui déterminent en partie le travail commun à venir). Reconnaître l’autre apparaît être un moment-clef à plus d’un titre. Qu’il s’agisse de la mise en relation entre le formateur et le formé, de la qualification de celui qui apprend son métier comme acteur capable, du respect porté à son expertise professionnelle ou de l’investissement du débutant malgré les difficultés et les échecs fréquents en début de carrière, la reconnaissance semble pouvoir asseoir, conforter et tout simplement permettre un espace de travail valorisant et sécurisant pour celui qui s’essaie à l’enseignement et qui souhaite pouvoir devenir, progressivement, un professionnel qui maîtrise ses gestes et affine continuellement son art."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22192