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Histoire de l'Education . n°160Mention de date : 2023 Paru le : 01/11/2023 |
Exemplaires (2)
Cote | Code-barres | Support | Section | Disponibilité | |
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H | 174885 | Revue | ESPACE 1 | Disponible | |
H | 175257 | Revue | ESPACE 1 | Disponible |
Dépouillements
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[article]
Titre : Ecole et éducation populaire en France depuis la fin du XIXe siècle : dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Besse, Directeur de publication Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 7/230 Langues : Français (fre) Sujets : éducation populaire ; histoire de l'éducation ; XIXème siècle Résumé : "Ce dossier s'intéresse à la périphérie associative de l'école, particulièrement celle du primaire, en faisant l'hypothèse que son histoire éclaire celle de l’école et qu’en retour l’éducation populaire gagne à prendre en compte la part scolaire de son histoire, trop souvent négligée. Acteurs et initiatives étudiés prétendent compléter l’action de l’école pendant les temps de loisirs, l’étendre en direction des adultes et en faire la base d’une action culturelle élargie aux loisirs, aux sport ou au cinéma. Le périscolaire, au sens large, toujours resté un domaine facultatif, a été un lieu d’innovation pédagogique : par les colonies de vacances ou les activités physiques, il s’agit pour les enseignants à terme de modifier les pratiques dans la classe, tandis qu’en militant dans les ciné-clubs d’autres se battent pour intégrer le cinéma dans les programmes, voire même en faire une discipline. Ces initiatives relèvent d’un engagement volontaire conforme à l’idéal de la vocation enseignante, dans un cadre associatif particulier, qui mêle administration et, après la Libération, syndicalisme, au nom de de la laïcité et de la défense de l’Éducation nationale. L’émergence d’un secteur administratif spécifique à l’éducation populaire est vue avec méfiance, car l’école a vocation pour les militants des associations périscolaires à prendre en charge tous les aspects éducatifs et culturels.
Les articles interrogent la notion de complémentarité éducative, appelée de leurs vœux par bien des acteurs de l’école et de l’éducation populaire mais qui semble parfois difficile à mettre en œuvre."
Note de contenu : Sommaire :
• À côté de l’école : école et éducation populaire en France depuis la fin du XIXe siècle / Laurent Besse
• Édouard Petit, un haut fonctionnaire républicain (1858-1917) et sa conception de l’éducation populaire / Jean-Paul Martin
• Les formations extra-scolaires des instituteurs et des institutrices : de la gymnastique militaire aux moniteurs de colonies de vacances, évolution d’un espace d’engagement (1905-1940) / Nicolas Palluau
• Rivale ou complémentaire de l’Éducation nationale ? Les enjeux de l’entrée en administration de l’éducation populaire (1944-1948) / Léo Vennin
• « Une subvention sous forme humaine » : la mise à disposition d’instituteurs auprès des œuvres complémentaires de l’école laïque (1940-1980) / Laurent Besse
• Du cinéma dans, en dehors ou en marge de la classe ? L’introduction du septième art à l’école (1963-1999) / Léo Souillés-DébatsEn ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.8683 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22485
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - p. 7/230[article] Ecole et éducation populaire en France depuis la fin du XIXe siècle : dossier [texte imprimé] / Laurent Besse, Directeur de publication . - 2023 . - p. 7/230.
Langues : Français (fre)
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - p. 7/230
Sujets : éducation populaire ; histoire de l'éducation ; XIXème siècle Résumé : "Ce dossier s'intéresse à la périphérie associative de l'école, particulièrement celle du primaire, en faisant l'hypothèse que son histoire éclaire celle de l’école et qu’en retour l’éducation populaire gagne à prendre en compte la part scolaire de son histoire, trop souvent négligée. Acteurs et initiatives étudiés prétendent compléter l’action de l’école pendant les temps de loisirs, l’étendre en direction des adultes et en faire la base d’une action culturelle élargie aux loisirs, aux sport ou au cinéma. Le périscolaire, au sens large, toujours resté un domaine facultatif, a été un lieu d’innovation pédagogique : par les colonies de vacances ou les activités physiques, il s’agit pour les enseignants à terme de modifier les pratiques dans la classe, tandis qu’en militant dans les ciné-clubs d’autres se battent pour intégrer le cinéma dans les programmes, voire même en faire une discipline. Ces initiatives relèvent d’un engagement volontaire conforme à l’idéal de la vocation enseignante, dans un cadre associatif particulier, qui mêle administration et, après la Libération, syndicalisme, au nom de de la laïcité et de la défense de l’Éducation nationale. L’émergence d’un secteur administratif spécifique à l’éducation populaire est vue avec méfiance, car l’école a vocation pour les militants des associations périscolaires à prendre en charge tous les aspects éducatifs et culturels.
Les articles interrogent la notion de complémentarité éducative, appelée de leurs vœux par bien des acteurs de l’école et de l’éducation populaire mais qui semble parfois difficile à mettre en œuvre."
Note de contenu : Sommaire :
• À côté de l’école : école et éducation populaire en France depuis la fin du XIXe siècle / Laurent Besse
• Édouard Petit, un haut fonctionnaire républicain (1858-1917) et sa conception de l’éducation populaire / Jean-Paul Martin
• Les formations extra-scolaires des instituteurs et des institutrices : de la gymnastique militaire aux moniteurs de colonies de vacances, évolution d’un espace d’engagement (1905-1940) / Nicolas Palluau
• Rivale ou complémentaire de l’Éducation nationale ? Les enjeux de l’entrée en administration de l’éducation populaire (1944-1948) / Léo Vennin
• « Une subvention sous forme humaine » : la mise à disposition d’instituteurs auprès des œuvres complémentaires de l’école laïque (1940-1980) / Laurent Besse
• Du cinéma dans, en dehors ou en marge de la classe ? L’introduction du septième art à l’école (1963-1999) / Léo Souillés-DébatsEn ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.8683 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22485 Théodore Simon, précurseur d'une psychopédagogie de l'orientation / Jérôme Martin in Histoire de l'Education, n°160 (2023)
[article]
Titre : Théodore Simon, précurseur d'une psychopédagogie de l'orientation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Martin, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 231/251 Langues : Français (fre) Sujets : Orientation Scolaire ; psychopédagogie ; psychopédagogue Mots-clés : Simon (Théodore) Résumé : "Le psychiatre Théodore Simon est surtout connu pour sa collaboration avec Alfred Binet à l’origine de l’Échelle métrique de l’intelligence. Mais il peut être considéré comme un fondateur d’une conception psychopédagogique de l’orientation alternative à la conception psychotechnique. Dans les nombreux articles qu’il publie dans le Manuel général de l’instruction primaire entre 1920 et 1939 il initie les instituteurs à l’utilisation de la psychologie scientifique par la mise en place d’expériences pédagogiques dans les classes. Il préconise l’utilisation de l’Échelle métrique de l’intelligence mais dans une perspective clinique d’observation des élèves. La psychopédagogie défendue par Simon s’applique également à l’orientation. Elle se distingue de la conception dominante représentée par Henri Piéron et l’INETOP qui repose sur des tests d’aptitudes. Comme Binet, Simon conteste la possibilité de distinguer des aptitudes qui seraient fixes et séparables. Au contraire, l’Échelle métrique et la méthode clinique permettent une approche globale de l’élève. L’orientation est intégrée aux pratiques pédagogiques et consiste, par l’utilisation de la psychologie scientifique, dans l’observation continue des élèves engagés dans des activités scolaires. Simon propose ainsi une psychopédagogie de l’orientation très différente de la psychotechnique." En ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.8983 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22486
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - p. 231/251[article] Théodore Simon, précurseur d'une psychopédagogie de l'orientation [texte imprimé] / Jérôme Martin, Auteur . - 2023 . - p. 231/251.
Langues : Français (fre)
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - p. 231/251
Sujets : Orientation Scolaire ; psychopédagogie ; psychopédagogue Mots-clés : Simon (Théodore) Résumé : "Le psychiatre Théodore Simon est surtout connu pour sa collaboration avec Alfred Binet à l’origine de l’Échelle métrique de l’intelligence. Mais il peut être considéré comme un fondateur d’une conception psychopédagogique de l’orientation alternative à la conception psychotechnique. Dans les nombreux articles qu’il publie dans le Manuel général de l’instruction primaire entre 1920 et 1939 il initie les instituteurs à l’utilisation de la psychologie scientifique par la mise en place d’expériences pédagogiques dans les classes. Il préconise l’utilisation de l’Échelle métrique de l’intelligence mais dans une perspective clinique d’observation des élèves. La psychopédagogie défendue par Simon s’applique également à l’orientation. Elle se distingue de la conception dominante représentée par Henri Piéron et l’INETOP qui repose sur des tests d’aptitudes. Comme Binet, Simon conteste la possibilité de distinguer des aptitudes qui seraient fixes et séparables. Au contraire, l’Échelle métrique et la méthode clinique permettent une approche globale de l’élève. L’orientation est intégrée aux pratiques pédagogiques et consiste, par l’utilisation de la psychologie scientifique, dans l’observation continue des élèves engagés dans des activités scolaires. Simon propose ainsi une psychopédagogie de l’orientation très différente de la psychotechnique." En ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.8983 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22486 Le Parti communiste français à la recherche de sa politique scolaire (1921-1934) / André D. Robert in Histoire de l'Education, n°160 (2023)
[article]
Titre : Le Parti communiste français à la recherche de sa politique scolaire (1921-1934) Type de document : texte imprimé Auteurs : André D. Robert, Auteur ; Pierre Kahn, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 251/281 Langues : Français (fre) Sujets : modèle éducatif ; P.C. (Parti Communiste) ; politique de l'éducation ; syndicalisme Résumé : "Cet article s’intéresse à la façon dont le jeune Parti communiste (PC), Section française de l’Internationale communiste (SFIC), issu du congrès de Tours (25-30 décembre 1920) a traité les questions scolaires et éducatives ; sur la base d’archives et de documents de diverses natures, il interroge les tâtonnements de sa doctrine en matière scolaire. L’article décrit tout d’abord l’effervescence politique et pédagogique caractéristique de cette nouvelle formation qui, tout en s’étant majoritairement ralliée aux 21 conditions d’adhésion à la IIIe Internationale, n’en est pas moins traversée par une forte tension entre une « logique du pari » émancipatrice et une « logique du soupçon » marquée par la radicalité. Cette tension donne matière, sur le plan scolaire et éducatif, à des conceptions très nettement opposées que reflètent les débats et les luttes internes au mouvement syndical révolutionnaire, le parti se plaçant d’abord (1921-1924) en position de dépendance vis-à-vis de cette forme de syndicalisme enseignant. À partir du tournant dit de la bolchevisation, en 1924, s’impose la conception référée au modèle soviétique et à l’idée que, dans la société de classes, l’école ne peut être que « bourgeoise » sans que s’efface pour autant, notamment au niveau de l’action scolaire dans les municipalités gérées par le PC, la pratique d’un « réformisme officieux » composant avec la culture pédagogique traditionnelle. La réflexion générale finale interroge la manière dont s’est opéré, certes au gré des évolutions de la politique de l’Internationale, un « travail du négatif » conduisant à l’élaboration d’une politique scolaire à la fois plus autonome et plus en prise sur l’héritage français, qui s’exprimera de plus en plus nettement sous le Front populaire et à la Libération." En ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.9018 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22590
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - p. 251/281[article] Le Parti communiste français à la recherche de sa politique scolaire (1921-1934) [texte imprimé] / André D. Robert, Auteur ; Pierre Kahn, Auteur . - 2023 . - p. 251/281.
Langues : Français (fre)
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - p. 251/281
Sujets : modèle éducatif ; P.C. (Parti Communiste) ; politique de l'éducation ; syndicalisme Résumé : "Cet article s’intéresse à la façon dont le jeune Parti communiste (PC), Section française de l’Internationale communiste (SFIC), issu du congrès de Tours (25-30 décembre 1920) a traité les questions scolaires et éducatives ; sur la base d’archives et de documents de diverses natures, il interroge les tâtonnements de sa doctrine en matière scolaire. L’article décrit tout d’abord l’effervescence politique et pédagogique caractéristique de cette nouvelle formation qui, tout en s’étant majoritairement ralliée aux 21 conditions d’adhésion à la IIIe Internationale, n’en est pas moins traversée par une forte tension entre une « logique du pari » émancipatrice et une « logique du soupçon » marquée par la radicalité. Cette tension donne matière, sur le plan scolaire et éducatif, à des conceptions très nettement opposées que reflètent les débats et les luttes internes au mouvement syndical révolutionnaire, le parti se plaçant d’abord (1921-1924) en position de dépendance vis-à-vis de cette forme de syndicalisme enseignant. À partir du tournant dit de la bolchevisation, en 1924, s’impose la conception référée au modèle soviétique et à l’idée que, dans la société de classes, l’école ne peut être que « bourgeoise » sans que s’efface pour autant, notamment au niveau de l’action scolaire dans les municipalités gérées par le PC, la pratique d’un « réformisme officieux » composant avec la culture pédagogique traditionnelle. La réflexion générale finale interroge la manière dont s’est opéré, certes au gré des évolutions de la politique de l’Internationale, un « travail du négatif » conduisant à l’élaboration d’une politique scolaire à la fois plus autonome et plus en prise sur l’héritage français, qui s’exprimera de plus en plus nettement sous le Front populaire et à la Libération." En ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.9018 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22590 Notre École, institution d’enseignement à distance pour une élite conservatrice, 1907-1926 / Etienne de Kergariou in Histoire de l'Education, n°160 (2023)
[article]
Titre : Notre École, institution d’enseignement à distance pour une élite conservatrice, 1907-1926 Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne de Kergariou, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : 285/311 Langues : Français (fre) Sujets : E.A.D. (Enseignement À Distance) ; Education des Elites ; Enseignement à Domicile ; Manuel Scolaire Résumé : "Notre École est une institution de cours par correspondance pour les élèves de premier et deuxième cycles de l’enseignement secondaire, réservé à l’époque à l’élite sociale. Elle est certainement l’une des plus anciennes expériences d’éducation à distance pour des enfants. Fondée par des parents d’élèves conservateurs, en réaction à la fermeture des écoles congréganistes de France au début du XXe siècle, elle développe une pédagogie en exploitant les technologies disponibles à l’époque. L’ensemble des numéros de la revue hebdomadaire, médium de ces cours, est conservé à la Bibliothèque nationale de France et permet de découvrir cette institution pédagogiquement innovante et politiquement conservatrice." Note de contenu : Sommaire :
Introduction
I. L’institution Notre École
1. La revue Notre École
2. Le cadre réglementaire
3. Une création en réaction
4. Des cursus adaptés au public concerné, une élite conservatrice
II. La conjonction d’une réaction politique et d’innovations
1. Une institution réactionnaire ?
2. Une instruction patriotique « quand même »
3. Une pédagogie innovante et efficace ?
4. À la maison comme à l’écoleEn ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.9053 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22590
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - 285/311[article] Notre École, institution d’enseignement à distance pour une élite conservatrice, 1907-1926 [texte imprimé] / Etienne de Kergariou, Auteur . - 2023 . - 285/311.
Langues : Français (fre)
in Histoire de l'Education > n°160 (2023) . - 285/311
Sujets : E.A.D. (Enseignement À Distance) ; Education des Elites ; Enseignement à Domicile ; Manuel Scolaire Résumé : "Notre École est une institution de cours par correspondance pour les élèves de premier et deuxième cycles de l’enseignement secondaire, réservé à l’époque à l’élite sociale. Elle est certainement l’une des plus anciennes expériences d’éducation à distance pour des enfants. Fondée par des parents d’élèves conservateurs, en réaction à la fermeture des écoles congréganistes de France au début du XXe siècle, elle développe une pédagogie en exploitant les technologies disponibles à l’époque. L’ensemble des numéros de la revue hebdomadaire, médium de ces cours, est conservé à la Bibliothèque nationale de France et permet de découvrir cette institution pédagogiquement innovante et politiquement conservatrice." Note de contenu : Sommaire :
Introduction
I. L’institution Notre École
1. La revue Notre École
2. Le cadre réglementaire
3. Une création en réaction
4. Des cursus adaptés au public concerné, une élite conservatrice
II. La conjonction d’une réaction politique et d’innovations
1. Une institution réactionnaire ?
2. Une instruction patriotique « quand même »
3. Une pédagogie innovante et efficace ?
4. À la maison comme à l’écoleEn ligne : https://doi.org/10.4000/histoire-education.9053 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22590