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Auteur Pierre Serna |
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Attentat aveugle rue Saint-Nicaise / Pierre Serna in L'Histoire, n°412 (juin 2015)
[article]
Titre : Attentat aveugle rue Saint-Nicaise Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Serna, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 68/73 Langues : Français (fre) Sujets : attentat ; Bonaparte (Napoléon) Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18572
in L'Histoire > n°412 (juin 2015) . - p. 68/73[article] Attentat aveugle rue Saint-Nicaise [texte imprimé] / Pierre Serna, Auteur . - 2015 . - p. 68/73.
Langues : Français (fre)
in L'Histoire > n°412 (juin 2015) . - p. 68/73
Sujets : attentat ; Bonaparte (Napoléon) Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18572 Combats pour une presse libre / Philippe Joutard in L'Histoire, n°410 (avril 2015)
[article]
Titre : Combats pour une presse libre : de Voltaire à "Charlie Hebdo" : dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Joutard, Auteur ; Pierre Serna, Auteur ; Laurent Theis, Auteur ; [et al.], Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 38/69 Langues : Français (fre) Sujets : blasphème ; caricature ; liberté de la presse ; siècle des lumières Mots-clés : Charlie hebdo Note de contenu : Sommaire :
- Les combattants des Lumières / Philippe Joutard
- Quand "Charly" s'écrivait à l'anglaise / Pierre Serna
- On a fouetté Charles X / Laurent Theis
- Droit au blasphème : IIIe République / Jean-Noël Jeanneney
- Pas de tabou pour Aristophane / Maurice Sartre
- Les audaces de "L'Assiette au beurre" / Christian Delporte
- Etats-Unis : la presse est-elle vraiment libre? / Pap Ndiaye
- L'exception française :"bête et méchant" / Christian DelportePermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18509
in L'Histoire > n°410 (avril 2015) . - p. 38/69[article] Combats pour une presse libre : de Voltaire à "Charlie Hebdo" : dossier [texte imprimé] / Philippe Joutard, Auteur ; Pierre Serna, Auteur ; Laurent Theis, Auteur ; [et al.], Auteur . - 2015 . - p. 38/69.
Langues : Français (fre)
in L'Histoire > n°410 (avril 2015) . - p. 38/69
Sujets : blasphème ; caricature ; liberté de la presse ; siècle des lumières Mots-clés : Charlie hebdo Note de contenu : Sommaire :
- Les combattants des Lumières / Philippe Joutard
- Quand "Charly" s'écrivait à l'anglaise / Pierre Serna
- On a fouetté Charles X / Laurent Theis
- Droit au blasphème : IIIe République / Jean-Noël Jeanneney
- Pas de tabou pour Aristophane / Maurice Sartre
- Les audaces de "L'Assiette au beurre" / Christian Delporte
- Etats-Unis : la presse est-elle vraiment libre? / Pap Ndiaye
- L'exception française :"bête et méchant" / Christian DelportePermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18509 La haine des élites / Nicolas Delalande in L'Histoire, n°511 (septembre 2023)
[article]
Titre : La haine des élites Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Delalande, Auteur ; Patrick Brun, Auteur ; Pierre Serna, Auteur ; [et al.], Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 28/57 Langues : Français (fre) Sujets : classe dirigeante ; Elite ; guerre civile ; haine ; homme politique ; intellectuel ; lutte des classes ; Méritocratie ; Révolution Française Mots-clés : ostracisme aristocratie Résumé :
La défiance des Français envers leurs élites n'est pas un phénomène nouveau. Le ressentiment à l'égard des « gros » remonte à la Révolution et à la naissance d'une opinion publique.
Ici comme ailleurs, cette détestation se nourrit souvent de fantasmes et a pu être instrumentalisée, comme au temps de Mao en Chine. Mais d'efficaces tentatives pour empêcher les abus des puissants ont existé, ainsi à Athènes au Ve siècle avant notre ère ou au XIXe siècle aux États-Unis avec la première marche sur Washington.Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22485
in L'Histoire > n°511 (septembre 2023) . - p. 28/57[article] La haine des élites [texte imprimé] / Nicolas Delalande, Auteur ; Patrick Brun, Auteur ; Pierre Serna, Auteur ; [et al.], Auteur . - 2023 . - p. 28/57.
Langues : Français (fre)
in L'Histoire > n°511 (septembre 2023) . - p. 28/57
Sujets : classe dirigeante ; Elite ; guerre civile ; haine ; homme politique ; intellectuel ; lutte des classes ; Méritocratie ; Révolution Française Mots-clés : ostracisme aristocratie Résumé :
La défiance des Français envers leurs élites n'est pas un phénomène nouveau. Le ressentiment à l'égard des « gros » remonte à la Révolution et à la naissance d'une opinion publique.
Ici comme ailleurs, cette détestation se nourrit souvent de fantasmes et a pu être instrumentalisée, comme au temps de Mao en Chine. Mais d'efficaces tentatives pour empêcher les abus des puissants ont existé, ainsi à Athènes au Ve siècle avant notre ère ou au XIXe siècle aux États-Unis avec la première marche sur Washington.Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22485 La Révolution française : dossier / Pierre Serna in Documentation Photographique. Dossier, n°8141 (mai / juin 2021)
[article]
Titre : La Révolution française : dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Serna, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1/63 Langues : Français (fre) Sujets : Bonaparte (Napoléon) ; esclavage ; Révolution Française Résumé : "Proposer une nouvelle lecture de la Révolution française implique un triple pari. D’abord imaginer une nouvelle temporalité, retracer les origines profondes de l’événement dans la période moderne et esquisser sa postérité sur la longue durée. Ensuite réévaluer sa spatialité. La Révolution s’insère dans un espace atlantique bouleversé depuis la guerre de Sept Ans. Celle-ci a réuni des combats anciens, mais fondateurs pour les révolutions de la n du XVIIIe siècle. Les nouvelles revendications, traduites d’une langue à l’autre, circulent de port en port: dénonciation de scalités en crise, lutte contre l’arbitraire des monarchies, pour les libertés individuelles et collectives et leur inscription dans des constitutions, émergence de l’idée de nation incarnée dans le concept d’indépendance, prise de conscience de l’injustice d’une économie monde fondée sur l’esclavage. En, cette nouvelle lecture implique de présenter la particularité de la Révolution de France, laboratoire à la mesure du pays le plus grand et le plus peuplé de l’Europe occidentale, également celui de la monarchie absolue la plus ancienne.
Le parcours proposé dans ce dossier se construit autour des concepts de politisation, mobilisation, participation et agentivité. De quelles sources dispose l’historien pour reconstituer au plus près ces événements qui ont bouleversé la vie d’un pays entier ? Comment redonner à chacune et chacun sa place et rendre compte de leur vécu et de leurs émotions ? C’est au ras du sol que commence la Révolution avec des questions engageant la survie de millions de ruraux et de citadins affectés par un climat déréglé, l’histoire environnementale s’invitant dans le déclenchement révolutionnaire. Ce sont ensuite les conits entre légalité et légitimité qui rythment la période, lorsque s’affrontent les représentants ofciellement investis de la souveraineté nationale, occupés à rédiger près de 30 000 lois sur l’ensemble de la période, et une population faisant entendre ses attentes et ses exigences. Pouvoir exécutif, pouvoir législatif et pouvoir de l’opinion publique se structurent et se confrontent durant les printemps et étés 1789, 1791, 1792, 1793, 1794, 1795, et même 1796. Trop sous-estimée, la contre-révolution est au cœur de ces luttes. Populaire ou élitaire, elle est puissante, armée, soutenue par les monarchies européennes mobilisées contre la République. Elle se structure et pousse à la guerre civile et extérieure. La République ne peut être que victorieuse pour survivre et affirmer l’indépendance de la France. Tout le continent européen est concerné par l’expansion de la dynamique révolutionnaire, du nord de l’Irlande au sud de l’Italie. Dans les Antilles, l’abolition de l’esclavage conquise par les Africains déportés et leurs descendants, soutenus par les libres de couleur, puis conrmée par la loi à la Convention, donne une nouvelle dimension révolutionnaire à la n du siècle. Pourtant, à partir de 1795, le pouvoir n’a de cesse d’effacer le peuple de la politique, le rendant responsable des désordres, et s’en remet toujours davantage aux militaires. La république de 1802, liberticide, plébiscitaire, esclavagiste et organisée autour d’un seul homme, sonne la n de la période révolutionnaire. S’affirme alors un nouvel ordre fondé sur les notables et la sacralisation de la propriété. Il ne peut toutefois effacer l’idée de république, de nation et d’indépendance."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21511
in Documentation Photographique. Dossier > n°8141 (mai / juin 2021) . - p. 1/63[article] La Révolution française : dossier [texte imprimé] / Pierre Serna, Auteur . - 2021 . - p. 1/63.
Langues : Français (fre)
in Documentation Photographique. Dossier > n°8141 (mai / juin 2021) . - p. 1/63
Sujets : Bonaparte (Napoléon) ; esclavage ; Révolution Française Résumé : "Proposer une nouvelle lecture de la Révolution française implique un triple pari. D’abord imaginer une nouvelle temporalité, retracer les origines profondes de l’événement dans la période moderne et esquisser sa postérité sur la longue durée. Ensuite réévaluer sa spatialité. La Révolution s’insère dans un espace atlantique bouleversé depuis la guerre de Sept Ans. Celle-ci a réuni des combats anciens, mais fondateurs pour les révolutions de la n du XVIIIe siècle. Les nouvelles revendications, traduites d’une langue à l’autre, circulent de port en port: dénonciation de scalités en crise, lutte contre l’arbitraire des monarchies, pour les libertés individuelles et collectives et leur inscription dans des constitutions, émergence de l’idée de nation incarnée dans le concept d’indépendance, prise de conscience de l’injustice d’une économie monde fondée sur l’esclavage. En, cette nouvelle lecture implique de présenter la particularité de la Révolution de France, laboratoire à la mesure du pays le plus grand et le plus peuplé de l’Europe occidentale, également celui de la monarchie absolue la plus ancienne.
Le parcours proposé dans ce dossier se construit autour des concepts de politisation, mobilisation, participation et agentivité. De quelles sources dispose l’historien pour reconstituer au plus près ces événements qui ont bouleversé la vie d’un pays entier ? Comment redonner à chacune et chacun sa place et rendre compte de leur vécu et de leurs émotions ? C’est au ras du sol que commence la Révolution avec des questions engageant la survie de millions de ruraux et de citadins affectés par un climat déréglé, l’histoire environnementale s’invitant dans le déclenchement révolutionnaire. Ce sont ensuite les conits entre légalité et légitimité qui rythment la période, lorsque s’affrontent les représentants ofciellement investis de la souveraineté nationale, occupés à rédiger près de 30 000 lois sur l’ensemble de la période, et une population faisant entendre ses attentes et ses exigences. Pouvoir exécutif, pouvoir législatif et pouvoir de l’opinion publique se structurent et se confrontent durant les printemps et étés 1789, 1791, 1792, 1793, 1794, 1795, et même 1796. Trop sous-estimée, la contre-révolution est au cœur de ces luttes. Populaire ou élitaire, elle est puissante, armée, soutenue par les monarchies européennes mobilisées contre la République. Elle se structure et pousse à la guerre civile et extérieure. La République ne peut être que victorieuse pour survivre et affirmer l’indépendance de la France. Tout le continent européen est concerné par l’expansion de la dynamique révolutionnaire, du nord de l’Irlande au sud de l’Italie. Dans les Antilles, l’abolition de l’esclavage conquise par les Africains déportés et leurs descendants, soutenus par les libres de couleur, puis conrmée par la loi à la Convention, donne une nouvelle dimension révolutionnaire à la n du siècle. Pourtant, à partir de 1795, le pouvoir n’a de cesse d’effacer le peuple de la politique, le rendant responsable des désordres, et s’en remet toujours davantage aux militaires. La république de 1802, liberticide, plébiscitaire, esclavagiste et organisée autour d’un seul homme, sonne la n de la période révolutionnaire. S’affirme alors un nouvel ordre fondé sur les notables et la sacralisation de la propriété. Il ne peut toutefois effacer l’idée de république, de nation et d’indépendance."Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21511