Centre
Bruxellois de
Documentation
Pédagogique
Détail de l'auteur
Auteur David Van Den Abbeel |
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
L’actionnariat des entreprises en Wallonie en 2020 / David Van Den Abbeel in Courrier Hebdomadaire, n°2548/2549 (2022)
[article]
Titre : L’actionnariat des entreprises en Wallonie en 2020 Type de document : texte imprimé Auteurs : David Van Den Abbeel, Auteur ; Fabienne Collard, Auteur ; Marcus Wunderle, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 5/66 Langues : Français (fre) Sujets : action ; Entreprise ; Wallonie Résumé :
L’actionnariat des entreprises est une donnée fondamentale de l’économie de marché, qu’il soit constitué de grandes familles, de multinationales ou de fonds publics, qu’il soit ou non concentré dans quelques mains, et qu’il concerne le secteur privé ou le secteur public. Par l’apport de capitaux, les actionnaires deviennent tout à la fois les partenaires financiers et les copropriétaires des sociétés dans lesquelles ils investissent. À l’échelle d’une région ou d’un pays, ils comptent donc parmi les principaux détenteurs du pouvoir économique.
Réalisé par l’équipe du secteur Économie du CRISP, ce Courrier hebdomadaire est consacré à la structure de l’actionnariat en Wallonie en 2020. Il fait le point sur trois thématiques : la définition belge de l’entreprise et la démographie wallonne de celle-ci ; l’évolution de la concentration des entreprises en Wallonie ; la structure de propriété des entreprises wallonnes. Il permet de dégager des tendances claires pour chacun de ces points.
L’analyse met en évidence plusieurs réalités de l’économie wallonne, dont la concentration de l’emploi dans un nombre d’entreprises relativement restreint, l’importance des pouvoirs publics belges en termes d’emploi, et le poids des groupes étrangers (essentiellement français, néerlandais, états-uniens, britanniques et allemands) dans l’actionnariat des entreprises de Wallonie. En outre, cette étude permet de prendre la mesure de certaines conséquences de la crise induite par la pandémie de Covid-19 puis de la reprise économique qui l’a suivie.
Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22837
in Courrier Hebdomadaire > n°2548/2549 (2022) . - p. 5/66[article] L’actionnariat des entreprises en Wallonie en 2020 [texte imprimé] / David Van Den Abbeel, Auteur ; Fabienne Collard, Auteur ; Marcus Wunderle, Auteur . - 2023 . - p. 5/66.
Langues : Français (fre)
in Courrier Hebdomadaire > n°2548/2549 (2022) . - p. 5/66
Sujets : action ; Entreprise ; Wallonie Résumé :
L’actionnariat des entreprises est une donnée fondamentale de l’économie de marché, qu’il soit constitué de grandes familles, de multinationales ou de fonds publics, qu’il soit ou non concentré dans quelques mains, et qu’il concerne le secteur privé ou le secteur public. Par l’apport de capitaux, les actionnaires deviennent tout à la fois les partenaires financiers et les copropriétaires des sociétés dans lesquelles ils investissent. À l’échelle d’une région ou d’un pays, ils comptent donc parmi les principaux détenteurs du pouvoir économique.
Réalisé par l’équipe du secteur Économie du CRISP, ce Courrier hebdomadaire est consacré à la structure de l’actionnariat en Wallonie en 2020. Il fait le point sur trois thématiques : la définition belge de l’entreprise et la démographie wallonne de celle-ci ; l’évolution de la concentration des entreprises en Wallonie ; la structure de propriété des entreprises wallonnes. Il permet de dégager des tendances claires pour chacun de ces points.
L’analyse met en évidence plusieurs réalités de l’économie wallonne, dont la concentration de l’emploi dans un nombre d’entreprises relativement restreint, l’importance des pouvoirs publics belges en termes d’emploi, et le poids des groupes étrangers (essentiellement français, néerlandais, états-uniens, britanniques et allemands) dans l’actionnariat des entreprises de Wallonie. En outre, cette étude permet de prendre la mesure de certaines conséquences de la crise induite par la pandémie de Covid-19 puis de la reprise économique qui l’a suivie.
Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22837 Les facteurs déterminant la proportion de femmes parmi les élus. L’exemple du scrutin local du 14 octobre 2018 / Cédric Istasse in Courrier Hebdomadaire, n°2410/2411 (2019)
[article]
Titre : Les facteurs déterminant la proportion de femmes parmi les élus. L’exemple du scrutin local du 14 octobre 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Istasse, Auteur ; David Van Den Abbeel, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : 91 p. Langues : Français (fre) Sujets : femme en politique Résumé : "Lors des élections locales du 14 octobre 2018, les femmes ont constitué 39,1 % des personnes élues pour siéger dans les conseils communaux. Certes, cette proportion est en progrès par rapport à celle enregistrée six ans auparavant. Mais la situation n’en reste pas moins fort éloignée d’une véritable parité, qui verrait les femmes représenter la moitié des élus.
Depuis un quart de siècle, diverses avancées législatives ont pourtant visé à favoriser la représentation politique des femmes au niveau local. Ainsi, depuis 2006, les partis politiques ont pour obligation de confectionner des listes de candidats qui comportent autant de femmes que d’hommes. Plus encore, depuis 2018, le système de la « tirette » est de mise dans deux régions : la Wallonie francophone et la Région bruxelloise. Comment alors expliquer que les femmes continuent à être une minorité parmi les mandataires communaux ?
Les calculs du CRISP montrent que, contrairement à une hypothèse fort répandue, le maintien ou la suppression de l’effet dévolutif de la case de tête n’a guère eu d’effet sur la répartition genrée des élus. En réalité, les principaux facteurs ayant déterminé la proportion de femmes élues sont, d’une part, le degré de visibilité que les partis politiques ont accordé aux femmes sur les listes de candidats (en les plaçant ou non aux quelques places stratégiques) et, d’autre part, les choix qui ont été posés par le corps électoral lui-même. En l’occurrence, les partis ont favoriséles hommes sur les listes de candidats et les électeurs ont renforcé cette tendance.
Cette démonstration repose sur un examen détaillé des résultats des élections communales qui se sont tenues en Wallonie et en Région bruxelloise le 14 octobre 2018 (ainsi que, à titre de mise en perspective, de ceux des élections provinciales organisées en Wallonie le même jour). L’étude comporte notamment une ventilation des données, particulièrement instructive, entre les principaux partis politiques.Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20549
in Courrier Hebdomadaire > n°2410/2411 (2019) . - 91 p.[article] Les facteurs déterminant la proportion de femmes parmi les élus. L’exemple du scrutin local du 14 octobre 2018 [texte imprimé] / Cédric Istasse, Auteur ; David Van Den Abbeel, Auteur . - 2019 . - 91 p.
Langues : Français (fre)
in Courrier Hebdomadaire > n°2410/2411 (2019) . - 91 p.
Sujets : femme en politique Résumé : "Lors des élections locales du 14 octobre 2018, les femmes ont constitué 39,1 % des personnes élues pour siéger dans les conseils communaux. Certes, cette proportion est en progrès par rapport à celle enregistrée six ans auparavant. Mais la situation n’en reste pas moins fort éloignée d’une véritable parité, qui verrait les femmes représenter la moitié des élus.
Depuis un quart de siècle, diverses avancées législatives ont pourtant visé à favoriser la représentation politique des femmes au niveau local. Ainsi, depuis 2006, les partis politiques ont pour obligation de confectionner des listes de candidats qui comportent autant de femmes que d’hommes. Plus encore, depuis 2018, le système de la « tirette » est de mise dans deux régions : la Wallonie francophone et la Région bruxelloise. Comment alors expliquer que les femmes continuent à être une minorité parmi les mandataires communaux ?
Les calculs du CRISP montrent que, contrairement à une hypothèse fort répandue, le maintien ou la suppression de l’effet dévolutif de la case de tête n’a guère eu d’effet sur la répartition genrée des élus. En réalité, les principaux facteurs ayant déterminé la proportion de femmes élues sont, d’une part, le degré de visibilité que les partis politiques ont accordé aux femmes sur les listes de candidats (en les plaçant ou non aux quelques places stratégiques) et, d’autre part, les choix qui ont été posés par le corps électoral lui-même. En l’occurrence, les partis ont favoriséles hommes sur les listes de candidats et les électeurs ont renforcé cette tendance.
Cette démonstration repose sur un examen détaillé des résultats des élections communales qui se sont tenues en Wallonie et en Région bruxelloise le 14 octobre 2018 (ainsi que, à titre de mise en perspective, de ceux des élections provinciales organisées en Wallonie le même jour). L’étude comporte notamment une ventilation des données, particulièrement instructive, entre les principaux partis politiques.Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20549