Centre
Bruxellois de
Documentation
Pédagogique
Détail de l'auteur
Auteur Martine Hébert |
Documents disponibles écrits par cet auteur (1)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
L’anxiété, la détresse et la douleur ressentie lors de l’examen anogénital chez les enfants présumés victimes d’agression sexuelle / Valérie Guertin in Carnet de notes sur les maltraitances infantiles, n°8 (octobre 2019)
[article]
Titre : L’anxiété, la détresse et la douleur ressentie lors de l’examen anogénital chez les enfants présumés victimes d’agression sexuelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Guertin, Auteur ; Mireille Cyr, Auteur ; Martine Hébert, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Sujets : agression sexuelle ; anxiété chez l'enfant ; Enfant Abusé ; Examen Médical Résumé : "Les données empiriques concernant les effets de l’examen anogénital à la suite du dévoilement d’une agression sexuelle chez les enfants sont peu nombreuses et contradictoires. L’objectif de cette étude est de documenter l’état émotionnel de l’enfant présumé victime et celui de son parent lors de la visite médicale, ainsi que les facteurs qui pourraient être liés aux niveaux d’anxiété, de détresse et de douleur ressentis par l’enfant. L’échantillon, composé de 55 enfants âgés entre 6 et 12 ans et leurs parents, est réparti en deux groupes, soit 37 enfants présumés victimes et 18 enfants non-victimes ayant consulté pour des infections urinaires. Les résultats des tests statistiques chi-carré et test-t indiquent, contrairement à ce qui était attendu, qu’il n’y a aucune différence significative du niveau d’anxiété ressenti entre les enfants présumés victimes et non-victimes et entre les enfants en général et leur parent. De plus, le niveau de connaissance par rapport à l’examen anogénital n’influence pas le niveau d’anxiété ressenti par l’enfant et le parent, ainsi que le niveau de détresse de l’enfant. Finalement, aucun lien n’a été trouvé entre l’anxiété ressentie par l’enfant avant l’examen et le niveau de douleur rapporté durant celui-ci. Afin d’obtenir un portrait des participants quant aux antécédents médicaux, ainsi qu’aux caractéristiques de l’examen médical, diverses analyses statistiques exploratoires ont été effectuées. Les résultats confirment ceux d’autres études indiquant que les enfants présumés victimes d’agression sexuelle ne ressentent pas plus d’anxiété, de détresse (score total) et de douleur que les enfants non-victimes lors de l’examen." Note de contenu : Plan :
Introduction
Objectifs
Méthode
Devis et Participants
Procédure et instruments de mesure
Résultats
Discussion
Forces et limites de la présente étude
Pistes de recherches futures et implications cliniquesEn ligne : https://doi.org/10.3917/cnmi.191.0030 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20804
in Carnet de notes sur les maltraitances infantiles > n°8 (octobre 2019)[article] L’anxiété, la détresse et la douleur ressentie lors de l’examen anogénital chez les enfants présumés victimes d’agression sexuelle [texte imprimé] / Valérie Guertin, Auteur ; Mireille Cyr, Auteur ; Martine Hébert, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
in Carnet de notes sur les maltraitances infantiles > n°8 (octobre 2019)
Sujets : agression sexuelle ; anxiété chez l'enfant ; Enfant Abusé ; Examen Médical Résumé : "Les données empiriques concernant les effets de l’examen anogénital à la suite du dévoilement d’une agression sexuelle chez les enfants sont peu nombreuses et contradictoires. L’objectif de cette étude est de documenter l’état émotionnel de l’enfant présumé victime et celui de son parent lors de la visite médicale, ainsi que les facteurs qui pourraient être liés aux niveaux d’anxiété, de détresse et de douleur ressentis par l’enfant. L’échantillon, composé de 55 enfants âgés entre 6 et 12 ans et leurs parents, est réparti en deux groupes, soit 37 enfants présumés victimes et 18 enfants non-victimes ayant consulté pour des infections urinaires. Les résultats des tests statistiques chi-carré et test-t indiquent, contrairement à ce qui était attendu, qu’il n’y a aucune différence significative du niveau d’anxiété ressenti entre les enfants présumés victimes et non-victimes et entre les enfants en général et leur parent. De plus, le niveau de connaissance par rapport à l’examen anogénital n’influence pas le niveau d’anxiété ressenti par l’enfant et le parent, ainsi que le niveau de détresse de l’enfant. Finalement, aucun lien n’a été trouvé entre l’anxiété ressentie par l’enfant avant l’examen et le niveau de douleur rapporté durant celui-ci. Afin d’obtenir un portrait des participants quant aux antécédents médicaux, ainsi qu’aux caractéristiques de l’examen médical, diverses analyses statistiques exploratoires ont été effectuées. Les résultats confirment ceux d’autres études indiquant que les enfants présumés victimes d’agression sexuelle ne ressentent pas plus d’anxiété, de détresse (score total) et de douleur que les enfants non-victimes lors de l’examen." Note de contenu : Plan :
Introduction
Objectifs
Méthode
Devis et Participants
Procédure et instruments de mesure
Résultats
Discussion
Forces et limites de la présente étude
Pistes de recherches futures et implications cliniquesEn ligne : https://doi.org/10.3917/cnmi.191.0030 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20804