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Offre et fréquentation des transports publics bruxellois de 1950 à 2017 / Vincent Carton in Brussels Studies. Revue scientifique électronique [en ligne], n°127 (septembre 2018)
[article]
Titre : Offre et fréquentation des transports publics bruxellois de 1950 à 2017 Type de document : document électronique Auteurs : Vincent Carton, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Sujets : S.T.I.B. (Société de Transports Intercommunaux Bruxellois) ; transport public Résumé : "S’appuyant sur les statistiques de la STIB depuis 1950, cet article analyse les choix faits en matière d’offre de transport en commun. D’un réseau basé quasi exclusivement sur le tram, on est passé progressivement à une offre métro-tram-bus retrouvant aujourd’hui son intensité en km parcourus de 1950. Si le métro a rapidement fait consensus, il n’a pas permis de compenser les réductions de l’offre engendrées par les économies sur l’exploitation du réseau dans les années 1980. Mettre l’essentiel des moyens sur un seul mode, en particulier si sa couverture territoriale est limitée, n’est pas suffisant. Même si la relation entre l’amélioration de l’offre et le gain de clientèle n’est pas automatique, une conclusion apparaît : en 68 ans, la STIB a attiré plus d’usagers à trois reprises lorsqu’elle a amélioré l’offre sur l’ensemble du réseau, surtout les fréquences des trams et des bus, les fréquences du métro ayant toujours été élevées. L’étude éclaire le débat sur les choix possibles : faut-il investir dans une ligne de métro entre Albert et Bordet ou investir dans le réseau de surface (extension au moyen de lignes à « haut niveau de service », protection des trams et bus vis-à-vis du trafic et amélioration des fréquences) ?" Note de contenu : Plan :
Introduction
1. Méthode, données et indicateurs
2. 1950-1970 : le déclin de l’offre de transport public
2.1. A la sortie de la guerre, une offre basée sur le tram
2.2. Le tram, le mal-aimé, et l’offre globale en chute libre
2.3. Pour enrayer la perte de voyageurs, enterrons le tramway !
3. 1970-1975 : la parenthèse
4. De 1976 à 1989, austérité et polémiques autour du métro
4.1. L’évolution de l’offre est contrastée durant ces 13 ans
4.2. Les restrictions budgétaires de la fin des années 1970 et des années 1980
4.3. De nouveaux acteurs ouvrent le débat sur le métro
5. Années 1990 : la Région de Bruxelles-Capitale fait ses choix
5.1. La nouvelle Région défend le réseau de surface
5.2. 1995, une réorientation politique mitigée
6. Années 2000 : l’offre est presque doublée
6.1. Le contexte et la mobilité évoluent rapidement
6.2. A partir de 2005, l’offre « explose »
7. L’offre du futur en discussion
ConclusionsEn ligne : https://doi.org/10.4000/brussels.1760 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20932
in Brussels Studies. Revue scientifique électronique [en ligne] > n°127 (septembre 2018)[article] Offre et fréquentation des transports publics bruxellois de 1950 à 2017 [document électronique] / Vincent Carton, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
in Brussels Studies. Revue scientifique électronique [en ligne] > n°127 (septembre 2018)
Sujets : S.T.I.B. (Société de Transports Intercommunaux Bruxellois) ; transport public Résumé : "S’appuyant sur les statistiques de la STIB depuis 1950, cet article analyse les choix faits en matière d’offre de transport en commun. D’un réseau basé quasi exclusivement sur le tram, on est passé progressivement à une offre métro-tram-bus retrouvant aujourd’hui son intensité en km parcourus de 1950. Si le métro a rapidement fait consensus, il n’a pas permis de compenser les réductions de l’offre engendrées par les économies sur l’exploitation du réseau dans les années 1980. Mettre l’essentiel des moyens sur un seul mode, en particulier si sa couverture territoriale est limitée, n’est pas suffisant. Même si la relation entre l’amélioration de l’offre et le gain de clientèle n’est pas automatique, une conclusion apparaît : en 68 ans, la STIB a attiré plus d’usagers à trois reprises lorsqu’elle a amélioré l’offre sur l’ensemble du réseau, surtout les fréquences des trams et des bus, les fréquences du métro ayant toujours été élevées. L’étude éclaire le débat sur les choix possibles : faut-il investir dans une ligne de métro entre Albert et Bordet ou investir dans le réseau de surface (extension au moyen de lignes à « haut niveau de service », protection des trams et bus vis-à-vis du trafic et amélioration des fréquences) ?" Note de contenu : Plan :
Introduction
1. Méthode, données et indicateurs
2. 1950-1970 : le déclin de l’offre de transport public
2.1. A la sortie de la guerre, une offre basée sur le tram
2.2. Le tram, le mal-aimé, et l’offre globale en chute libre
2.3. Pour enrayer la perte de voyageurs, enterrons le tramway !
3. 1970-1975 : la parenthèse
4. De 1976 à 1989, austérité et polémiques autour du métro
4.1. L’évolution de l’offre est contrastée durant ces 13 ans
4.2. Les restrictions budgétaires de la fin des années 1970 et des années 1980
4.3. De nouveaux acteurs ouvrent le débat sur le métro
5. Années 1990 : la Région de Bruxelles-Capitale fait ses choix
5.1. La nouvelle Région défend le réseau de surface
5.2. 1995, une réorientation politique mitigée
6. Années 2000 : l’offre est presque doublée
6.1. Le contexte et la mobilité évoluent rapidement
6.2. A partir de 2005, l’offre « explose »
7. L’offre du futur en discussion
ConclusionsEn ligne : https://doi.org/10.4000/brussels.1760 Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=20932