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En attendant le politique... ce que la gestion des "combattants terroristes étrangers" et de leurs enfants dit de la lutte contre le terrorisme / Elise Delhaise in Journal du Droit des Jeunes, n°401 (janvier 2021)
[article]
Titre : En attendant le politique... ce que la gestion des "combattants terroristes étrangers" et de leurs enfants dit de la lutte contre le terrorisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Elise Delhaise, Auteur ; Coline Remacle, Auteur ; Chloé Thomas, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 7/8 Langues : Français (fre) Sujets : rapatriement ; terrorisme (lutte) Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21327
in Journal du Droit des Jeunes > n°401 (janvier 2021) . - p. 7/8[article] En attendant le politique... ce que la gestion des "combattants terroristes étrangers" et de leurs enfants dit de la lutte contre le terrorisme [texte imprimé] / Elise Delhaise, Auteur ; Coline Remacle, Auteur ; Chloé Thomas, Auteur . - 2021 . - p. 7/8.
Langues : Français (fre)
in Journal du Droit des Jeunes > n°401 (janvier 2021) . - p. 7/8
Sujets : rapatriement ; terrorisme (lutte) Permalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21327 L’organisation fédérale de la lutte antiterroriste en Belgique / Chloé Thomas in Courrier Hebdomadaire, n°2463/2464 (2020)
[article]
Titre : L’organisation fédérale de la lutte antiterroriste en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Chloé Thomas, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 5/63 Langues : Français (fre) Sujets : Belgique ; terrorisme ; terrorisme (lutte) Résumé : "Le 22 mars 2016, la Belgique est frappée par deux attaques à la bombe coordonnées, à l’aéroport de Bruxelles-National à Zaventem et dans la station Maelbeek du métro de Bruxelles. Ces explosions renforcent encore le « Belgium bashing », apparu suite aux attentats perpétrés à Paris le 13 novembre 2015 : la Belgique est pointée du doigt dans la presse internationale, accusée d’avoir fait preuve d’un dangereux laxisme vis-à-vis de ce que les commentateurs appellent l’islam radical .
Si certains reproches semblent excessifs, il n’en faut pas moins tirer des leçons de ces attaques. Dans son rapport de 2017, la commission d’enquête parlementaire mise sur pied après les attentats du 22 mars 2016 s’inquiète notamment d’une architecture de sécurité fragmentée, qui favoriserait la confusion autour des responsabilités de chacun des acteurs . Dans l’État fédéral qu’est la Belgique, la lutte contre le terrorisme dépend en effet de l’action et de la coordination d’une multitude d’acteurs, des traditionnels professionnels de la sécurité aux travailleurs sociaux, en passant par les administrations des différents niveaux de pouvoir. À cela, s’ajoutent une culture du secret et la confidentialité inhérente aux enjeux de sécurité, avec pour résultat une organisation de la lutte antiterroriste qui peut sembler floue et peu lisible. Or, à l’heure où les citoyens belges sont appelés à « apprendre à vivre avec la menace terroriste » et où cette dernière justifie souvent des mesures politiques qui menacent les droits fondamentaux et libertés individuelles …"Note de contenu : Sommaire :
Introduction
1. La lutte contre le terrorisme dans la loi
1.1. L’inscription du terrorisme dans le Code pénal en 2003
1.2. Une nouvelle vague législative dès 2015
2. Les instruments politiques de la lutte contre le terrorisme
2.1. Le Conseil national de sécurité (CNS)
2.2. Le Comité stratégique du renseignement et de la sécurité (CSRS)
2.3. Le Comité de coordination du renseignement et de la sécurité (CCRS)
2.4. La note-cadre de sécurité intégrale (NCSI)
3. Le volet opérationnel de la lutte contre le terrorisme
3.1. L’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (OCAM)
3.2. Les services d’appui de l’OCAM
3.3. Le Centre gouvernemental de coordination et de crise (CGCCR)
3.4. Les services de renseignement
3.5. Le service de police intégré, structuré à deux niveaux
3.6. La Cellule de traitement des informations financières (CTIF)
3.7. Le Centre pour la cybersécurité Belgique (CCB)
3.8 La Défense
4. La répression des infractions terroristes
4.1. La répression pénale via le parquet fédéral
4.2. Le plan d’action contre la radicalisation dans les prisons
4.3. Les mesures de police administrative
ConclusionPermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21176
in Courrier Hebdomadaire > n°2463/2464 (2020) . - p. 5/63[article] L’organisation fédérale de la lutte antiterroriste en Belgique [texte imprimé] / Chloé Thomas, Auteur . - 2020 . - p. 5/63.
Langues : Français (fre)
in Courrier Hebdomadaire > n°2463/2464 (2020) . - p. 5/63
Sujets : Belgique ; terrorisme ; terrorisme (lutte) Résumé : "Le 22 mars 2016, la Belgique est frappée par deux attaques à la bombe coordonnées, à l’aéroport de Bruxelles-National à Zaventem et dans la station Maelbeek du métro de Bruxelles. Ces explosions renforcent encore le « Belgium bashing », apparu suite aux attentats perpétrés à Paris le 13 novembre 2015 : la Belgique est pointée du doigt dans la presse internationale, accusée d’avoir fait preuve d’un dangereux laxisme vis-à-vis de ce que les commentateurs appellent l’islam radical .
Si certains reproches semblent excessifs, il n’en faut pas moins tirer des leçons de ces attaques. Dans son rapport de 2017, la commission d’enquête parlementaire mise sur pied après les attentats du 22 mars 2016 s’inquiète notamment d’une architecture de sécurité fragmentée, qui favoriserait la confusion autour des responsabilités de chacun des acteurs . Dans l’État fédéral qu’est la Belgique, la lutte contre le terrorisme dépend en effet de l’action et de la coordination d’une multitude d’acteurs, des traditionnels professionnels de la sécurité aux travailleurs sociaux, en passant par les administrations des différents niveaux de pouvoir. À cela, s’ajoutent une culture du secret et la confidentialité inhérente aux enjeux de sécurité, avec pour résultat une organisation de la lutte antiterroriste qui peut sembler floue et peu lisible. Or, à l’heure où les citoyens belges sont appelés à « apprendre à vivre avec la menace terroriste » et où cette dernière justifie souvent des mesures politiques qui menacent les droits fondamentaux et libertés individuelles …"Note de contenu : Sommaire :
Introduction
1. La lutte contre le terrorisme dans la loi
1.1. L’inscription du terrorisme dans le Code pénal en 2003
1.2. Une nouvelle vague législative dès 2015
2. Les instruments politiques de la lutte contre le terrorisme
2.1. Le Conseil national de sécurité (CNS)
2.2. Le Comité stratégique du renseignement et de la sécurité (CSRS)
2.3. Le Comité de coordination du renseignement et de la sécurité (CCRS)
2.4. La note-cadre de sécurité intégrale (NCSI)
3. Le volet opérationnel de la lutte contre le terrorisme
3.1. L’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (OCAM)
3.2. Les services d’appui de l’OCAM
3.3. Le Centre gouvernemental de coordination et de crise (CGCCR)
3.4. Les services de renseignement
3.5. Le service de police intégré, structuré à deux niveaux
3.6. La Cellule de traitement des informations financières (CTIF)
3.7. Le Centre pour la cybersécurité Belgique (CCB)
3.8 La Défense
4. La répression des infractions terroristes
4.1. La répression pénale via le parquet fédéral
4.2. Le plan d’action contre la radicalisation dans les prisons
4.3. Les mesures de police administrative
ConclusionPermalink : https://www.cocof-cbdp.irisnet.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21176